Il y a plein de bonnes raisons de trier, ranger, désencombrer sa maison. En agissant sur votre intérieur, le désencombrement agit aussi sur votre extérieur, sur votre environnement, sur votre état d’esprit, sur votre qualité de vie.
On revoit ses priorités.
Un rangement profond vous invite à revoir et à renouer avec vos aspirations profondes.
Se désencombrer ce n’est tout vider chez soi, c’est apprendre à mieux répartir l’énergie circulante chez vous.
On simplifie son quotidien.
Plus besoin de courir partout. Si vous êtes organisé (bien évidemment puisqu’après le grand rangement, tout est à sa place de façon logique), chaque tâche a été analysée, réfléchie et optimisée de façon à ce que votre journée se déroule de la façon la plus fluide possible. Et quand les choses ne se passent pas comme prévu, on se recentre sur le plus important et on lâche prise sur le reste. Ne gardez à l’esprit que l’essentiel. Respirez.
On fait des économies.
On ne cède plus à la fièvre acheteuse. Votre temps, votre énergie, vos pensées mais aussi vos possessions deviennent le reflet de vos choix. Vous avez donné du sens à vos décisions, donnez aussi du sens à vos dépenses. Apprenez à mieux utiliser votre porte-monnaie en achetant des produits et des expériences de qualité. Interrogez vos besoins, vos habitudes, vos convictions et choisissez l’objet le plus proche de vos attentes. Prenez le temps de choisir.
On vit le moment présent.
Le minimalisme nous apprend à nous contenter de peu et à apprécier chaque instant à sa juste valeur. Une fois libéré du besoin de tout contrôler, de tout posséder, de tout accomplir, l’esprit est enfin disponible pour se consacrer à ce qui compte vraiment. On fait moins, mais mieux.
On est moins anxieux face à l’avenir.
La peur n°1 dans nos société de consommation, c’est souvent de manquer. Au retour des vacances, on retrouve sa valise pleine de fringues finalement jamais portées, le frigo encore bourré d’aliments qui ont périmé en notre absence. Nous surestimons nos besoins. Or, le minimalisme nous apprend à faire mieux avec moins. Vous pouvez continuer à entasser les objets, mais vous n’aurez plus peur de vous en séparer.
On gagne en liberté.
Lorsqu’on choisi ses propres priorités, on se centre, on dirige sa vie, et alors le regard des autres et la pression sociale deviennent moins pesants.
On apaise ses pensées.
Le rangement optimal en efficacité, c’est de procéder à un immense ménage de printemps. Choisir de conserver, donner ou jeter ses objets, c’est faire de la place, dans sa vie, à ce qui a de l’importance et se débarrasser de ce qui n’en a plus.
C’est là le pas (et peut-être le plus grand) vers la paix de l’esprit.